5 hommes sont enfermes dans un bunker, prisonniers
5 hommes sont enfermes dans un bunker, prisonniers et ils viennent de surmonter une inondation dans la salle de bains. imaginer leur dialogue car ils disent quand meme autour d’un repas que que d’une ertaine façon ils sont eu de la chance
“Bon sang, on aurait pu y passer la nuit,” marmonna Jean-Claude, en grattant la boue séchée sur son pantalon.
“C’est vrai que la douche est plus grande que prévu,” ajouta Paul, son visage éclairé par un sourire narquois.
Les cinq hommes étaient réunis autour de la table, les restes d’un repas frugal jonchant les assiettes. L’atmosphère était à la fois détendue et empreinte d’une certaine gravité. Ils étaient coincés dans ce bunker depuis plus de deux semaines, victimes d’une catastrophe dont ils ne connaissaient ni l’ampleur ni la cause. La seule certitude : le monde extérieur était devenu hostile, un lieu interdit par une barrière invisible.
“Au moins, on a évité une noyade,” remarqua Pierre, en désignant du doigt une fissure béante dans le mur, vestige de l’inondation qui avait englouti la salle de bain quelques heures plus tôt.
“C’est ça, on peut dire qu’on a eu une chance,” acquiesça Michel, “on aurait pu être coincés dans la salle de bain jusqu’à la fin des temps.”
“En même temps,” intervint Marc, “on aurait eu un peu plus d’intimité.” Un rire nerveux parcourut la pièce, brisant le silence qui s’était installé.
“On ne sait pas ce qui se passe dehors,” reprit Jean-Claude, d’un ton plus sérieux. “On est dans un monde qui a changé, un monde où on ne peut pas compter sur les autres, sur rien en fait.”
Un silence lourd s’abattit sur la table. Les cinq hommes, les visages marqués par l’angoisse et le doute, se regardèrent d’un air sombre. Ils étaient seuls, prisonniers d’un bunker et d’un secret. Ils n’avaient aucun moyen de savoir s’ils retrouveraient un jour la lumière du jour, s’ils reverraient leurs familles.
“On a encore de la nourriture, de l’eau,” dit enfin Michel, brisant le silence. “On va trouver une solution, on est des hommes, on a toujours survécu, on survivra encore.”
Les regards se croisèrent, un éclair d’espoir illuminait les yeux de chacun. Peut-être qu’ils avaient raison. Peut-être qu’ils allaient réussir à sortir de ce cauchemar. Mais pour l’instant, ils étaient cinq hommes enfermés dans un bunker, prisonniers d’un monde inconnu. Et ils ne pouvaient que se fier à leur courage et à leur volonté de vivre.
