En début d’automne, la famille Calliston amenage
En début d’automne, la famille Calliston amenage dans une ville, que Bella et Arthur, les parents, on connue enfant. Une ville perdu au milieu des bois, bois qui on beaucoup de légende à leur sujet. Les Calliston vont rendre visite au parents d’Arthur qui habite là-bas.
La famille rencontre un homme étrange après avoir tomber en panne en forêt, et les enfants, Rain leur fils, 14 ans et Pénélope 8 ans, ainsi que leur Père, Arthur. Fond le parallèle avec le film d’horreur qu’il on vu. Mais Bella leur dit que se ne sont que des histoires clichés. Mais tout va bien ! L’homme étrange leur à offert de l’essence pour continuer la route. 🙂
Ils ont fait le plein dans la station service mec bizarre et reprennent la route.
Arrivée en ville, les Calliston revoit Marshall et Jocelyne, les parents d’Arthur. Les Calliston on aussi un voisin assez spécial, Alfred. Il prétend avoir vu de nombreux phénomène étrange en ville, et que le gouvernement local le traque car il en sais trop.
Après cette étrange rencontre, les Calliston partent rangé quelques bagages, puis partent visiter la ville.
En pleine nuit, alors que Rain entant des bruits dans son mur, il décide de s’en approcher et de pousser un carton derrière qui se trouvait une porte. Étrange vue que la porte aurait été vue par sa famille.
Alors il ouvre la porte, et avant qu’il n’est pû voir quoique ce soit, Carton le chat, surgit de la porte à toute allure. Carton vivant dans le mur de cette maison depuis plusieurs années, il vit dans se mur pour éviter d’être repéré par les autorités. Carton est un peu un criminel en cavale.
Le soleil couchant teintait les arbres d’or et de rouge alors que la famille Calliston s’engageait sur la route sinueuse qui menait à la ville oubliée. Bella, au volant, fredonnait une mélodie oubliée, tandis qu’Arthur, à ses côtés, contemplait les paysages familiers de son enfance. Rain, 14 ans, écoutait de la musique avec ses écouteurs, et Pénélope, 8 ans, observait les arbres qui semblaient s’épaissir au fur et à mesure qu’ils s’enfonçaient dans la forêt.
“C’est incroyable comme tout a l’air différent”, murmura Arthur, un sourire nostalgique aux lèvres. “J’avais oublié à quel point la forêt était immense.”
“Oui, et mystérieuse”, ajouta Bella, les yeux rivés sur la route. “Je me souviens des légendes que l’on racontait sur ces bois, des créatures fantastiques qui vivaient dans les arbres.”
“Des histoires pour faire peur aux enfants”, rigola Arthur, “Comme le monstre qui hantait la vieille maison abandonnée au bord du lac.”
“Papa, tu sais que j’ai vu le monstre dans le film d’horreur l’autre soir”, chuchota Pénélope, une pointe de peur dans la voix. “Et il ressemblait exactement à ça.”
Arthur poussa un rire nerveux. “Ne t’inquiète pas, mon petit ange. C’est juste un film. Les histoires sont des histoires, et les monstres sont des fictions.”
Mais la forêt semblait plus menaçante que jamais. Les arbres se dressaient comme des spectres, et les branches se nouaient en formes inquiétantes. Soudain, la voiture s’arrêta brutalement, le moteur lâchant un râle rauque.
“Bon sang !” maugréa Arthur. “Panne d’essence.”
Ils étaient perdus au milieu de nulle part, entourés par la forêt épaisse. Pénélope se blottit contre sa mère, les yeux écarquillés de peur. Rain s’approcha de la fenêtre, scrutant l’obscurité qui envahissait le bois.
“Quelqu’un ?”, appela Arthur. “Au secours !”
Un bruit de pas sec se fit entendre dans les arbres. Une silhouette étrange émergea des ténèbres, éclairée par les phares vacillants de la voiture. Un homme à la mine sévère, les yeux perçants et les vêtements usés, leur fit signe de se calmer.
“Vous êtes perdus ?”, demanda-t-il d’une voix rauque. “Je connais bien ces bois. Je peux vous aider.”
Un malaise s’empara des Calliston. L’homme ressemblait étrangement au monstre du film d’horreur. Rain sentit un frisson lui parcourir l’échine.
“Je crois que nous avons besoin d’essence”, répondit Arthur, hésitant.
“Je peux vous en fournir”, rétorqua l’homme, un sourire étrange aux lèvres. “Venez avec moi.”
Les Calliston se regardèrent, le cœur battant la chamade. Pénélope se blottit encore plus contre sa mère, les yeux fixés sur l’homme mystérieux.
“Fais attention”, chuchota Bella, le visage pâle. “N’oublie pas que ce sont des histoires. Des histoires qu’on se raconte pour faire peur.”
Mais au fond d’elle, Bella sentait que quelque chose n’allait pas. Le silence de la forêt, l’obscurité qui s’épaississait, et l’homme étrange aux yeux perçants lui inspiraient une terreur irrationnelle.
Ils suivirent l’homme à travers les bois, le silence pesant comme un linceul. Soudain, ils arrivèrent devant une petite cabane en bois, perdue au milieu de la forêt. L’homme ouvrit la porte et les invita à entrer.
“Je vous laisse vous reposer”, dit-il. “J’irai chercher l’essence.”
Les Calliston, épuisés et effrayés, se sont installés dans la cabane obscure. Rain, ne pouvant plus supporter la tension, s’est mis à chercher des signes de danger. Il a scruté chaque recoin de la cabane, l’air empli de suspicion.
“Il ne faut pas se laisser aller à la peur”, se murmura-t-il. “Ce sont des histoires, des histoires qu’on se raconte pour faire peur…”
Mais la voix de Rain tremblait, et ses yeux se fixaient sur la porte, attendant le retour de l’homme mystérieux.