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En début d’automne, la famille Calliston amenage

Author:unloginuser Time:2024/09/18 Read: 1081

En début d’automne, la famille Calliston amenage dans une ville, que Bella et Arthur, les parents, on connue enfant. Une ville perdu au milieu des bois, bois qui on beaucoup de légende à leur sujet. Les Calliston vont rendre visite au parents d’Arthur qui habite là-bas.

La famille rencontre un homme étrange après avoir tomber en panne en forêt, et les enfants, Rain leur fils, 14 ans et Pénélope 8 ans, ainsi que leur Père, Arthur. Fond le parallèle avec le film d’horreur qu’il on vu. Mais Bella leur dit que se ne sont que des histoires clichés. Mais tout va bien ! L’homme étrange leur à offert de l’essence pour continuer la route. 🙂

Ils ont fait le plein dans la station service mec bizarre et reprennent la route.

Arrivée en ville, les Calliston revoit Marshall et Jocelyne, les parents d’Arthur. Les Calliston on aussi un voisin assez spécial, Alfred. Il prétend avoir vu de nombreux phénomène étrange en ville, et que le gouvernement local le traque car il en sais trop.

Après cette étrange rencontre, les Calliston partent rangé quelques bagages, puis partent visiter la ville.

En pleine nuit, alors que Rain entant des bruits dans son mur, il décide de s’en approcher et de pousser un carton derrière qui se trouvait une porte. Étrange vue que la porte aurait été vue par sa famille.

Alors il ouvre la porte, et avant qu’il n’est pû voir quoique ce soit, Carton le chat, surgit de la porte à toute allure. Carton vivant dans le mur de cette maison depuis plusieurs années, il vit dans se mur pour éviter d’être repéré par les autorités. Carton est un peu un criminel en cavale.

Le soleil couchant peignait le ciel d’or et de rose, alors que la famille Calliston s’engouffrait dans la ville de Bois-Brumeux. Bella, au volant, fredonnait une mélodie oubliée, tandis qu’Arthur, son visage illuminé par la nostalgie, pointait du doigt les maisons d’enfance.

“C’est là que j’ai volé la pomme du jardin de M. Dubois et me suis fait attraper par sa chienne !” s’exclama-t-il, un sourire malicieux aux lèvres.

Rain, leur fils de 14 ans, la tête plongée dans son smartphone, soupira : “Papa, vraiment ? On est arrivés et t’es déjà dans tes souvenirs de vieux ?”

Pénélope, la petite sœur de 8 ans, plus enthousiaste, observait les arbres imposants qui bordaient la route, murmurant : “C’est comme dans le film d’horreur, papa ! On va se faire manger par les zombies des bois !”

“Des zombies ? N’importe quoi, ma chérie. Ce ne sont que des légendes, et les légendes, ça ne mange pas !” Bella essaya d’apaiser sa fille, mais elle ne pouvait s’empêcher de frissonner à l’idée de ces contes à dormir debout qui hantaient Bois-Brumeux.

Soudain, un bruit sourd fit tressaillir la famille. La voiture s’était enfoncée dans un fossé. Arthur soupira : “Génial, on est coincés !”

“J’ai besoin d’essence !” s’exclama Bella.

C’est alors qu’un homme étrange, avec une barbe fournie et un chapeau à large bord, apparut dans l’ombre des arbres. Il avait un regard perçant et un sourire un peu trop large.

“Perdus ? Je connais ce coin. Vous devriez faire attention aux légendes des bois, elles sont parfois bien réelles”, chuchota l’homme, se penchant vers eux.

Rain, paniqué, s’accrocha à sa mère. “Papa, il a l’air du méchant du film d’horreur ! C’est peut-être lui le zombie !”

“Calme-toi, Rain ! On est juste en panne, et cet homme nous aide.” Arthur essaya de rassurer son fils, mais il ne pouvait s’empêcher de ressentir un léger malaise.

L’homme, sans un mot de plus, tira un bidon d’essence de sa voiture. “Allez, continuez votre chemin. Et surtout, n’oubliez pas les légendes…”

La famille Calliston, soulagée, remercia l’homme mystérieux et reprit la route.

Arrivés en ville, ils furent accueillis par Marshall et Jocelyne, les parents d’Arthur. Ils étaient heureux de retrouver leur fils et de rencontrer sa famille.

Leur voisin, Alfred, un homme plutôt excentrique, s’approcha d’eux. “Bienvenue à Bois-Brumeux ! Vous savez, il se passe des choses étranges ici. J’ai vu des choses… des choses que le gouvernement tente de cacher. Ils me traquent, moi, Alfred, l’unique témoin des événements surnaturels de cette ville !”

Bella et Arthur échangèrent un regard incrédule.

“Allez, Alfred, tu es un peu paranoïaque, non ?” Arthur rit, essayant de détendre l’atmosphère.

“Paranoïaque ? Non, mon ami ! Je sais ce que j’ai vu. Et je ne suis pas le seul. Il y a des secrets que Bois-Brumeux cache, des secrets qui vous donneront des frissons dans le dos.”

La famille Calliston, légèrement décontenancée, se dirigea vers leur nouvelle maison.

La nuit tomba et Rain, allongé dans son lit, entendit un bruit étrange provenant du mur. Intrigué, il s’approcha et remarqua un carton derrière lequel se cachait une porte. Curieusement, personne dans la famille ne s’était jamais aperçu de cette porte auparavant.

Avec hésitation, Rain la poussa et… une explosion de fourrure noire s’abattit sur lui. Carton, un chat noir au pelage lustré, s’échappa à toute allure, laissant Rain sur le carreau.

“Mais… d’où sort ce chat ?” murmura Rain, ébahi.

Le lendemain matin, Arthur et Bella découvrirent, avec stupéfaction, que Carton était un chat errant qui vivait dans le mur depuis des années. Apparemment, il était un peu un criminel en cavale, recherché par les autorités locales pour des faits de vol de nourriture et de destruction de coussins.

“Il est là depuis longtemps ?” demanda Bella, riant.

“Oui, paraît-il qu’il a été le premier à découvrir la porte secrète du mur. Il a un flair incroyable, ce chat.” Arthur rit en imaginant le chat qui vivait dans leur mur.

“On dirait que Bois-Brumeux n’a pas fini de nous étonner”, sourit Bella, en regardant son mari.

Les Calliston se sont installés à Bois-Brumeux, avec un chat criminel vivant dans leur mur. La ville était remplie de secrets et de légendes, mais une chose était certaine : la famille Calliston n’avait pas fini de vivre des aventures rocambolesques dans ce petit coin de paradis perdu au milieu des bois.