Invasion of giantess alien who eats humans
Invasion of giantess alien who eats humans
L’Invasion des Géantes
Le ciel était d’un bleu profond, sans nuage, quand elle est apparue. Une ombre immense, s’étendant sur la ville comme un voile obscur. Un silence lourd s’est abattu sur la place animée, les oiseaux ont cessé de chanter, les enfants ont arrêté de jouer. Tout le monde a levé les yeux, les visages pâles d’effroi.
Elle était gigantesque, une silhouette imposante d’une hauteur dépassant les gratte-ciel, sa peau d’un bleu profond parsemée de points lumineux qui scintillaient comme des étoiles. Ses yeux, deux puits noirs immenses, balayaient la ville avec une indifférence glaciale. Des tentacules épais, recouverts d’une peau gluante, se sont déployés de son corps, agitant l’air et créant un vent violent qui arrachait les arbres et brisait les vitres.
Une terreur sauvage a pris possession des habitants. Ils ont tenté de fuir, mais la géante se déplaçait avec une incroyable rapidité. Ses pas lourds ébranlaient la terre, faisant trembler les immeubles. Elle s’est penchée, sa bouche béante dévoilant des rangées de dents acérées et pointues, et a avalé d’une seule gorgée un groupe de personnes qui s’étaient aventurés trop près.
L’horreur a alors envahi les rues. La géante, insatiable, avançait sans relâche, dévorant tout sur son passage. Les cris, les pleurs et les explosions se mêlaient dans un concert infernal. L’humanité semblait condamnée.
Mais au milieu du chaos, un groupe de scientifiques a travaillé sans relâche. Ils ont étudié l’anatomie de la géante, analysé son langage, cherché un point faible. Ils ont découvert qu’elle était sensible à une fréquence sonore particulière, un son qui la désorientait et la faisait fuir.
Avec ce savoir, ils ont construit un dispositif émettant cette fréquence. Le son, un sifflement aigu et strident, s’est répandu dans la ville. La géante, prise au dépourvu, a titubé, ses mouvements se sont désordonnés. Elle s’est mise à hurler, un son guttural et terrible, avant de s’enfuir dans les airs, disparaissant dans le ciel bleu.
La ville, dévastée, se relevait lentement. Les survivants, marqués par la terreur, reconstruisaient leurs vies, conscients que le danger était toujours présent, que la menace des géantes planait sur leurs têtes. Mais ils avaient aussi appris une leçon précieuse : l’espoir, même dans les moments les plus sombres, peut naître de l’intelligence et de la solidarité.
