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En début d’automne, la famille Calliston amenage

Author:unloginuser Time:2024/09/18 Read: 6480

En début d’automne, la famille Calliston amenage dans une ville, que Bella et Arthur, les parents, on connue enfant. Une ville perdu au milieu des bois, bois qui on beaucoup de légende à leur sujet. Les Calliston vont rendre visite au parents d’Arthur qui habite là-bas.

La famille rencontre un homme étrange après avoir tomber en panne en forêt, et Rain crois avoir vu un fantôme, mais tout va bien ! 🙂

Ils ont fait le plein dans la station service mec bizarre et reprennent la route.

Arrivée en ville, les Calliston revoit Marshall et Jocelyne, les parents d’Arthur. Les Calliston on aussi un voisin assez spécial, il prétend avoir vu de nombreux phénomène étrange en ville, et que le gouvernement local le traque car il en sais trop.

Après cette étrange rencontre, les Calliston partent rangé quelques bagages, puis partent visiter la ville.

En pleine nuit, alors que Rain entant des bruits dans son mur, il décide de s’en approcher et de pousser un carton derrière qui se trouvait une porte. Étrange vue que la porte aurait été vue par sa famille.

Alors il ouvre la porte, et avant qu’il n’est pû voir quoique ce soit, Carton le chat, surgit de la porte à toute allure. Carton vivant dans le mur de cette maison depuis plusieurs années, il vit dans se mur pour éviter d’être repéré par les autorités. Carton est un peu un criminel en cavale.

Le soleil couchant teintait les feuilles d’or et de rouge, peignant un tableau d’automne flamboyant sur les routes sinueuses qui menaient à Ébène. Bella, au volant, serrait les mains sur le volant, tandis qu’Arthur, son mari, scrutait la carte avec un sourire nostalgique.

“Tu te souviens de cet endroit, Bella?” demanda-t-il, sa voix empreinte d’une douce mélancolie. “C’est ici qu’on passait nos vacances d’été quand on était enfants.”

Bella acquiesça, ses yeux se posant sur les bois qui bordaient la route. “Je me souviens de tout, Arthur. Des nuits passées à écouter les histoires de grand-père sur les esprits qui hantaient ces bois…”

Rain, leur fils de 10 ans, s’exclama depuis le siège arrière : “Des esprits? Vraiment? C’est cool!”

Arthur rit, sa main caressant le dos de Bella. “Ce n’étaient que des histoires, mon garçon.”

Mais les bois d’Ébène n’étaient pas que de simples bois. Ils étaient imprégnés de légendes, de mystères et de murmures que les habitants chuchotaient à voix basse.

Soudain, la voiture s’arrêta en sursaut, le moteur toussant avant de se taire complètement. Arthur soupira, en colère contre la panne.

“On est coincés,” dit-il, avant d’ouvrir la portière.

C’est alors qu’ils aperçurent un homme étrange, les yeux noirs et brillants, la barbe épaisse et sauvage. Il se tenait sur le bord de la route, une main gantée caressant un bâton noueux.

“Le moteur, il est malade,” dit l’homme d’une voix rauque, presque chantante. “Comme l’âme de cette ville.”

Rain frissonna, sentant un malaise l’envahir. Il aperçut une ombre furtive se glisser entre les arbres, mais l’homme, comme s’il avait deviné ses pensées, lui sourit d’un air mystérieux.

“Ne t’inquiète pas, petit. Les esprits de ces bois sont bienveillants… la plupart du temps.”

L’homme disparut aussi soudainement qu’il était apparu, laissant les Calliston seuls avec le silence et l’inquiétude. Arthur réussit à redémarrer la voiture, mais un sentiment étrange, une peur diffuse, s’était emparé de la famille.

Arrivés à Ébène, ils retrouvèrent Marshall et Jocelyne, les parents d’Arthur, plus vieux mais tout aussi chaleureux qu’il se les rappelait. La ville était calme, presque fantomatique, les maisons aux fenêtres sombres et les rues désertes.

En début de soirée, leur nouveau voisin, un homme excentrique nommé Silas, s’invita chez eux. Silas avait l’air d’un érudit un peu fou, les yeux pétillants d’une excitation inquiétante.

“Cette ville,” chuchota-t-il, “est un vortex. Un lieu où le réel se mêle à l’irréel. J’ai vu des choses… des choses que le gouvernement essaie de cacher.”

Silas expliqua qu’il était traqué par des agents secrets, des hommes en noir qui le poursuivaient pour ses connaissances sur les secrets d’Ébène.

Rain, incapable de dormir, entendit des bruits étranges provenant du mur de sa chambre. Il se leva, tira un carton qui le gênait et découvrit une porte cachée, un passage secret.

L’enfant hésita, puis ouvrit la porte.

Soudain, un chat noir et corpulent jaillit de la pièce, fonçant dans la nuit à toute allure.

C’était Carton, un chat qui vivait dans les murs de la maison depuis des années, un fugitif recherché par les autorités. Il était un criminel en cavale… un criminel qui vivait dans un monde de magie et de mystère, un monde que les Calliston commençaient à découvrir.