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En début d’automne, la famille Calliston amenage

Author:unloginuser Time:2024/09/18 Read: 2157

En début d’automne, la famille Calliston amenage dans une ville, que Bella et Arthur, les parents, on connue enfant. Une ville perdu au milieu des bois, bois qui on beaucoup de légende à leur sujet. Les Calliston vont rendre visite au parents d’Arthur qui habite là-bas.

La famille rencontre un homme étrange après avoir tomber en panne en forêt, et les enfants, Rain 14 ans et Pénélope 8 ans, ainsi que leur Père, Arthur. Fond le parallèle avec le film d’horreur qu’il on vu. Mais Bella leur dit que se ne sont que des histoires clichés. Mais tout va bien ! L’homme étrange leur à offert de l’essence pour continuer la route. 🙂

Ils ont fait le plein dans la station service mec bizarre et reprennent la route.

Arrivée en ville, les Calliston revoit Marshall et Jocelyne, les parents d’Arthur. Les Calliston on aussi un voisin assez spécial, il prétend avoir vu de nombreux phénomène étrange en ville, et que le gouvernement local le traque car il en sais trop.

Après cette étrange rencontre, les Calliston partent rangé quelques bagages, puis partent visiter la ville.

En pleine nuit, alors que Rain entant des bruits dans son mur, il décide de s’en approcher et de pousser un carton derrière qui se trouvait une porte. Étrange vue que la porte aurait été vue par sa famille.

Alors il ouvre la porte, et avant qu’il n’est pû voir quoique ce soit, Carton le chat, surgit de la porte à toute allure. Carton vivant dans le mur de cette maison depuis plusieurs années, il vit dans se mur pour éviter d’être repéré par les autorités. Carton est un peu un criminel en cavale.

La lumière de l’aube se faufilait à travers les rideaux tandis que la famille Calliston arrivait à la lisière de la ville oubliée d’Ébène. Un sentiment d’une douce mélancolie flottait dans l’air, comme un voile de brouillard enveloppant les maisons aux toits de tuiles grises. Bella, la mère, soupira en reconnaissant le parfum de terre humide et de feuilles mortes qui rappelait son enfance. Arthur, son époux, observait le paysage avec une pointe de nostalgie. La ville d’Ébène, où il avait grandi, restait à jamais gravée dans ses souvenirs, une énigme enveloppée de mystères anciens.

Rain, leur fille de quatorze ans, s’appuya sur le dossier du siège, les yeux fixés sur la forêt qui s’étendait à l’infini autour d’eux. Elle avait lu des légendes sur les bois d’Ébène, des récits de créatures fantastiques et de magie oubliée. Son imagination s’emballa, et elle se demanda si elle rencontrerait des êtres magiques durant ce séjour. Pénélope, sa petite sœur de huit ans, regardait les arbres avec une curiosité innocente.

En s’approchant de la ville, leur voiture tomba en panne. Le moteur se mit à tousser et à crachoter avant de se taire complètement. Une ombre se profila au bord de la route, une silhouette étrange à la barbe fournie et aux yeux perçants. Il s’approcha en souriant, une lueur étrange dans son regard. “Des ennuis, mes amis ?” dit-il d’une voix rauque.

Arthur sentit un frisson le parcourir. “Une panne d’essence”, expliqua-t-il, une pointe d’inquiétude dans la voix. L’homme sourit et répondit : “J’ai de l’essence à revendre. Suivez-moi.”

Alors qu’ils le suivaient à travers les bois, Rain ressentit une étrange sensation de déjà-vu. “Papa, c’est comme dans le film d’horreur qu’on a vu l’autre jour”, chuchota-t-elle, les yeux écarquillés. Pénélope s’accrocha à sa main, ses yeux fixés sur les arbres qui semblaient se pencher sur eux, comme pour les observer.

“Ce ne sont que des histoires, ma chérie”, répondit Bella, sa voix empreinte de confiance. “Il n’y a rien à craindre.”

L’homme les conduisit à une petite station-service abandonnée, et leur offrit de l’essence. Ils reprirent la route, le cœur battant à tout rompre, et arrivèrent enfin à la ville.

Marshall, le père d’Arthur, les accueillit avec des bras ouverts, les yeux rivés sur Pénélope, qui avait grandi d’une façon incroyable depuis leur dernière rencontre. Jocelyne, sa femme, semblait ravie de voir à nouveau Arthur.

Leur voisin, un homme étrange et solitaire nommé Silas, les invita à prendre une tasse de café. Silas était un homme aux paroles énigmatiques, qui affirmait avoir été témoin de phénomènes étranges dans la ville. “Le gouvernement m’observe”, murmura-t-il d’un air mystérieux, “Ils savent trop de choses sur moi.”

Après une journée mouvementée, la famille Calliston rangea ses bagages et décida de partir explorer la ville. En fin de soirée, Rain entendit des bruits sourds provenant du mur de sa chambre. Intriguée, elle s’approcha du mur et remarqua un carton qui semblait se trouver là depuis toujours. Elle le poussa, et à sa grande surprise, le carton se déplaça, révélant une porte dissimulée.

Un sentiment d’excitation et de crainte lui monta à la tête. Rain hésita un instant avant d’ouvrir la porte. Soudain, un éclair de noir et de blanc jaillit de la porte, suivi d’un miaulement perçant. Carton, le chat errant de la ville, s’élança hors de la porte, ses yeux brillants de malice et de peur. Il était en fuite, et il avait choisi le mur de la chambre de Rain pour se cacher.

Rain comprit alors que la ville d’Ébène n’était pas aussi tranquille qu’elle en avait l’air. Les légendes qu’elle avait lues étaient peut-être plus vraies qu’elle ne le pensait. La ville recélait des secrets, et Carton, le chat errant, en était le gardien.