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Le soleil couchant baignait la ville d’une lumiè

Author:unloginuser Time:2024/09/16 Read: 4658

Le soleil couchant baignait la ville d’une lumière rouge sang, reflétant le malaise qui s’était emparé de Tatanka. Il se tenait devant le commissariat, un homme imposant à la silhouette massive et au regard sombre, marqué par les épreuves de sa longue vie. Il avait traversé les siècles, témoin des transformations du monde et des horreurs qui l’avaient façonné. Aujourd’hui, il avait une lourde vérité à partager.
Il avait passé sa vie à apprendre les secrets du monde, les mythes et les légendes que l’on oubliait trop souvent. Parmi eux, il y avait l’histoire des loups-garous. Un sujet qui inspirait la terreur et la méfiance, mais qu’il connaissait bien. Il avait compris que la peur, souvent, engendrait la confusion, et que la confusion alimentait la violence.
“Il y a trois espèces de loups-garous,” annonça-t-il au sergent qui lui ouvrit la porte. “Le premier, le plus répandu, est celui que vous connaissez. Une menace pour l’homme, sauvage et cruel.”
Le sergent fronça les sourcils, sceptique. “Et les autres ?”
“Le second, plus rare, est celui qui cherche à coexister. Ils sont sensibles, intelligents, et ne veulent que protéger leur propre espèce. Le troisième, le plus puissant, est celui qui est au-dessus du bien et du mal. Un être ancien et puissant, que l’on ne peut ni comprendre ni contrôler.”
L’officier haussa un sourcil.
“C’est la vérité,” répondit Tatanka, avec un ton grave. “Et c’est cette vérité qui nous mènera à notre perte. Nous sommes aveuglés par la peur, nous attaquons tous ceux qui sont différents, sans nous poser de questions.”

Tatanka se retira, déçu mais pas surpris. Il avait tenté de prévenir, de partager ses connaissances. Mais la peur et l’ignorance étaient des murs épais, impossibles à briser. Il savait qu’il ne pouvait pas empêcher le mal, mais il pouvait au moins continuer à partager la vérité, à espérer que les générations futures seraient plus éclairées que les précédentes.
Alors que la nuit s’abattait sur la ville, Tatanka se mit en route, seul, pour protéger la vérité. Il savait que le monde avait besoin de lui, même si personne ne le comprenait. Il était le dernier gardien des secrets oubliés, le dernier rempart contre l’obscurité qui pointait à l’horizon.

Le soleil couchant baignait la ville d’une lumière rouge sang, reflétant le malaise qui s’était emparé de Tatanka. Il se tenait devant le commissariat, un homme imposant à la silhouette massive et au regard sombre, marqué par les épreuves de sa longue vie. Il avait traversé les siècles, témoin des transformations du monde et des horreurs qui l’avaient façonné. Aujourd’hui, il avait une lourde vérité à partager.

Il avait passé sa vie à apprendre les secrets du monde, les mythes et les légendes que l’on oubliait trop souvent. Parmi eux, il y avait l’histoire des loups-garous. Un sujet qui inspirait la terreur et la méfiance, mais qu’il connaissait bien. Il avait compris que la peur, souvent, engendrait la confusion, et que la confusion alimentait la violence.

“Il y a trois espèces de loups-garous,” annonça-t-il au sergent qui lui ouvrit la porte. “Le premier, le plus répandu, est celui que vous connaissez. Une menace pour l’homme, sauvage et cruel.”

Le sergent fronça les sourcils, sceptique. “Et les autres ?”

“Le second, plus rare, est celui qui cherche à coexister. Ils sont sensibles, intelligents, et ne veulent que protéger leur propre espèce. Le troisième, le plus puissant, est celui qui est au-dessus du bien et du mal. Un être ancien et puissant, que l’on ne peut ni comprendre ni contrôler.”

L’officier haussa un sourcil.

“C’est la vérité,” répondit Tatanka, avec un ton grave. “Et c’est cette vérité qui nous mènera à notre perte. Nous sommes aveuglés par la peur, nous attaquons tous ceux qui sont différents, sans nous poser de questions.”

Le sergent, impatient, balaya la proposition de Tatanka d’un geste de la main. “C’est de la folie, vieux. Allez vous coucher.”

Tatanka se retira, déçu mais pas surpris. Il avait tenté de prévenir, de partager ses connaissances. Mais la peur et l’ignorance étaient des murs épais, impossibles à briser. Il savait qu’il ne pouvait pas empêcher le mal, mais il pouvait au moins continuer à partager la vérité, à espérer que les générations futures seraient plus éclairées que les précédentes.

Alors que la nuit s’abattait sur la ville, Tatanka se mit en route, seul, pour protéger la vérité. Il savait que le monde avait besoin de lui, même si personne ne le comprenait. Il était le dernier gardien des secrets oubliés, le dernier rempart contre l’obscurité qui pointait à l’horizon.

Il marchait dans les rues désertes, son regard scrutant les ombres qui dansaient autour des lampadaires. Il entendait les murmures du vent qui chuchotait des histoires anciennes, des légendes oubliées.

Dans un parc désert, il s’arrêta devant un grand chêne, ses branches noueuses se tordant vers le ciel comme des griffes. Il s’assit au pied de l’arbre, son dos contre son tronc rugueux.

Il referma les yeux et laissa ses pensées vagabonder. Il se souvenait des moments où il avait été témoin de la cruauté des hommes, des massacres et des persécutions. Il se souvenait de la douleur et de la souffrance, de l’incompréhension et de la haine.

Mais il se souvenait aussi de la beauté du monde, de la nature sauvage et indomptée, de la puissance de l’amour et de la compassion.

Il se souvenait de la promesse qu’il s’était faite il y a tant d’années : protéger la vérité, même si cela lui coûtait la vie.

Il ouvrit les yeux et regarda le ciel nocturne étoilé. Il savait que le combat était loin d’être terminé, que la peur et l’ignorance étaient encore là, menaçant de nous engloutir.

Mais il savait aussi qu’il n’était pas seul. Il avait la vérité de son côté, et il était prêt à se battre pour qu’elle soit entendue, pour qu’un jour, peut-être, le monde soit plus éclairé et plus juste.