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Le village paisible, mais des disparitions d’enfa

Author:unloginuser Time:2024/10/24 Read: 4984

Le village paisible, mais des disparitions d’enfants d’ados avaient eu lieu. Qui ? Ou quoi ? avait emporté. Certains pensent à une fugue ou à une personne venue les enlever. Mais les enquêtes n’ont toujours rien donné, malgré les chiens pour aider. Rien, pas une trace, pas un vêtement perdu, le seul point commun, toutes disparues au même endroit au parc. Pour le moment, toujours des recherches en espérant élucider ce mystère…

Le village de Saint-Aubin, niché au cœur de la vallée verdoyante, était réputé pour sa tranquillité et son charme bucolique. Les maisons en pierre, les jardins fleuris et l’air pur attiraient les familles en quête d’une vie paisible. Mais cette harmonie, fragile comme une dentelle, fut brisée par un vent glacial de terreur.

Tout avait commencé il y a trois mois, lorsque Marie, une adolescente de 16 ans, disparut sans laisser de trace. Elle avait quitté sa maison pour se rendre au parc, un lieu de rendez-vous populaire pour les jeunes du village, mais n’était jamais rentrée. Ses parents, désemparés, alertèrent la gendarmerie. Les recherches s’intensifièrent, les chiens pisteurs furent mis à contribution, mais rien. Marie, comme engloutie par la terre, s’était volatilisée.

Quelques semaines plus tard, ce fut au tour de Lucas, 15 ans, de disparaître de la même manière. Puis de Sophie, 14 ans. Le parc, autrefois lieu de joie et de rires, devint un lieu de cauchemar, hanté par le spectre des disparus.

Le village, jadis paisible, était désormais en proie à la panique. Les parents étaient constamment inquiets, les enfants interdits de se rendre au parc, les conversations tournaient autour des disparitions.

Les gendarmes, impuissants face à l’énigme, se trouvaient devant un mur. Les investigations n’avaient rien révélé. Aucun signe de lutte, aucun témoin, pas même un vêtement perdu. Le seul point commun entre les disparitions était le parc, ce lieu pourtant si familier et sûr.

L’hypothèse d’une fugue collective fut rapidement écartée. Les adolescents disparus étaient bien intégrés, avaient des familles aimantes et aucune raison de s’enfuir. L’idée d’un enlèvement par un individu malveillant semblait la plus plausible, mais sans aucune piste ni mobile.

Le mystère s’épaississait, alimentant les rumeurs et les théories les plus farfelues. Certains évoquaient un sortilège, d’autres une créature mythique vivant dans le bois qui entourait le parc. L’imagination populaire, en manque d’explication rationnelle, s’enflammait.

Les familles des disparus, quant à elles, étaient plongées dans un désespoir abyssal. Chaque jour qui passait était un supplice. Le silence, l’absence, le vide laissés par leurs enfants les rongeaient.

Alors que les recherches se poursuivaient, une étrange découverte vint raviver l’espoir. Un homme, un vagabond errant connu sous le nom de “Le Vieux Sage”, affirma avoir vu les enfants au bord d’un lac situé à quelques kilomètres du village. Il décrivit un groupe d’adolescents riant et jouant, comme si de rien n’était.

Les gendarmes, sceptiques mais prêts à explorer toutes les pistes, se rendirent sur place. Mais le lac était vide. Le Vieux Sage, retrouvé mort dans sa cabane, ne laissa aucune autre indication.

Le mystère de Saint-Aubin demeurait entier. Qui avait emporté les enfants ? Ou quoi ? Le parc, autrefois symbole de joie et de liberté, était devenu un lieu maudit, hanté par les fantômes du passé et l’incertitude du futur. Les recherches se poursuivaient, avec l’espoir ténu d’élucider ce mystère et de retrouver les enfants disparus.