Un voisin mystérieux, toujours caché derrière s
Un voisin mystérieux, toujours caché derrière ses rideaux, semblait être le cœur battant d’une série de crimes choquants qui secouaient notre petite ville. Des bruits de verre brisé, des cris étouffés, et des silhouettes obscures dans la nuit. Chaque jour, je découvrais des indices, des détails qui s’entremêlaient avec les histoires de Logan . En scrutant les ombres de ma rue, je réalisais que la frontière entre le rationnel et le surnaturel était de plus en plus floue. Peut-être que la possession de son ami n’était pas qu’une simple illusion, mais un écho d’un mal qui se répandait comme une traînée de poudre. Alors, je me préparais un bain pour me détendre. Je plongeais dans ce bain mousseux et chaud puis je m’endormis…
Je me réveillais par la sonnerie de ma porte d’appartement. En haussant la voix, je lançai un « Qui est là ? » maladroit, J’hésitai, puis je sortis rapidement de ma baignoire, enroulée dans une serviette, je me précipitais pour ouvrir la porte. Sur le seuil se tenait un homme dans la soixantaine , avec un sourire fade sur ses lèvres. Mais son regard était troublant, presque maléfique et malfaisant. « Bonjour, je suis Julian, votre nouveau voisin, celui qui vous as envoyé un message tout à l’heure. », a-t-il déclaré d’une voix douce, mais quelque chose dans son ton m’a mise mal à l’aise. « je pense que ce n’est pas le bon moment de discuter, surtout à minuit…» il sortait son téléphone pour compléter sa phrase; son téléphone indiquait 00h23. « à minuit vingt-trois » se corrigeait-il. Il me dit bonne soirée et partit; mais quand il se retourna, dans son dos et a ses pieds, sur ses chaussures, des tâches de sang. J’eu une angoisse, et retournai dans mon appartement et refermai la porte.
Je m’étais habillée , et je préparais ma salade pour regarder un film, car je savais que je ne pourrais pas dormir. En découpant ma salade je me suis coupée légèrement et j’étais allée pour me désinfecter le doigt et alors que je reviens je ne trouve plus mon saladier.
C’était trop pour moi alors, je vais sur mon canapé, allumait la télé et regardait mon film qui était “ maman j’ai raté l’avion” un film super soft et calme…
La nuit était épaisse, un noir d’encre qui engendrait une tension sourde. Assise sur le canapé, les yeux rivés sur l’écran, je ne pouvais détourner le regard des scénarios horribles qui défilaient. Des cris résonnaient, amplifiés par le son à fond. L’angoisse montait en moi, paralysant mes membres. Soudain, une silhouette familière se détacha de l’obscurité : mon voisin, un couteau à la main, s’avançait lentement, une ombre maléfique l’entourant. Son visage, déformé par la folie, semblait être celui de la silhouette floue que j’avais vue plus tôt dans la journée.
Dans sa main, il tenait mon saladier, vestige d’un dîner paisible devenu cauchemar. Juste derrière lui, surgit mon ancien patient favori, taché de sang, vêtu d’une robe de religieux. Ses yeux brillaient d’une douleur inexplicable. Je voulais crier, mais aucun son ne sortait. Mon cœur battait la chamade, je me débattais dans cette horreur.
Je me réveillais toujours dans le noir, en sursaut et mon front gouttait de sueur, quand des cris stridents résonnèrent du coté du mur de mon voisin. Des bruits de souffrances atroces et de pleurs de désespoir, suivis d’éclats de verres et de petits cris étouffés.
Les mains tremblantes je saisis mon téléphone et tentai d’appeler la police mais je n’avais plus de courant. Je marchais à tâtons pour arriver jusqu’à la porte. Quand j’atteignis la poignée, je sentis un souffle glacial sur ma nuque. Un dernier éclat de lumière, puis le noir total, amplifiant l’angoisse. D’un coup, la porte s’ouvrit, révélant le long couloir sombre et défraichit.
Un voisin mystérieux, toujours caché derrière ses rideaux, semblait être le cœur battant d’une série de crimes choquants qui secouaient notre petite ville. Des bruits de verre brisé, des cris étouffés, des silhouettes obscures dans la nuit… Chaque jour, je découvrais des indices, des détails qui s’entremêlaient avec les histoires troublantes de Logan, mon ancien patient, dont la possession supposée hantait mes pensées. En scrutant les ombres de ma rue, je réalisais que la frontière entre le rationnel et le surnaturel était de plus en plus floue. Peut-être que la possession de Logan n’était pas qu’une simple illusion, mais un écho d’un mal qui se répandait comme une traînée de poudre.
J’avais préparé un bain pour me détendre, espérant échapper à la tension omniprésente. Je m’étais endormie dans l’eau chaude et mousseuse…
Je fus réveillée par la sonnerie insistante de ma porte. « Qui est là ? » demandai-je, la voix tremblante. J’hésitai, puis, enveloppée dans une serviette, je m’empressai d’ouvrir. Sur le seuil se tenait un homme d’une soixantaine d’années, un sourire crispé sur les lèvres, mais un regard troublant, presque maléfique.
« Bonjour, je suis Julian, votre nouveau voisin. Je vous ai envoyé un message il y a quelques instants. » Sa voix était douce, mais un malaise profond me glaçait. « Je pense que ce n’est pas le bon moment… surtout à minuit… » Il sortit son téléphone. « Minuit vingt-trois, » se corrigea-t-il. Il me souhaita bonne soirée et s’en alla. Mais lorsque je le vis s’éloigner, je vis des taches… du sang, sur ses chaussures. Une vague de terreur me submerge. Je refermai la porte à toute vitesse, le cœur battant à tout rompre.
Je m’habillai, préparant une salade pour tenter de calmer mes nerfs. Je me coupai légèrement le doigt en préparant ma salade. En allant me désinfecter, je découvris… mon saladier avait disparu.
C’était trop. Je m’affaissai sur le canapé, allumai la télévision, choisissant un film léger, “Maman, j’ai raté l’avion”, pour me détendre.
La nuit était épaisse, un noir d’encre qui amplifiait la tension. Fixée à l’écran, je ne pouvais détacher mon regard des images, même inoffensives, qui semblaient prendre une dimension sinistre. Soudain, une silhouette familière émergea de l’obscurité : mon voisin, un couteau à la main, s’avançait lentement, une ombre maléfique le nimbant. Son visage, déformé par la folie, était celui de la silhouette floue que j’avais entrevue plus tôt.
Dans sa main, il tenait mon saladier. Derrière lui, Logan, mon ancien patient, taché de sang, vêtu d’une robe de religieux, ses yeux brillants d’une douleur inexplicable. Je voulais crier, mais ma voix était prise dans ma gorge.
Je me réveillai en sueur froide, le cœur tambourinant. Des cris stridents, des bruits de souffrance atroce, de pleurs désespérés, suivis d’éclats de verre et de petits cris étouffés, résonnaient du côté du mur mitoyen.
Les mains tremblantes, je cherchai mon téléphone… plus de courant. J’avançai à tâtons vers la porte. Alors que je touchais la poignée, je sentis un souffle glacial sur ma nuque. Un dernier éclair de lumière… puis le noir. La porte s’ouvrit… révélant le long couloir sombre et menaçant. Le silence, lourd et oppressant, me laissait seule face à l’horreur.