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C’était une matinée comme les autres dans le bu

Author:unloginuser Time:2024/10/23 Read: 3152

C’était une matinée comme les autres dans le bunker. Les cinq auteurs, Albert, Berthe, Claude, Diane et Étienne, s’affairaient chacun de leur côté pour commencer leur journée de travail. Soudain, un bruit sourd provenant de la salle de bains attira leur attention. Ils s’y précipitèrent et découvrirent avec horreur que la canalisation était bouchée, provoquant un débordement d’eau et de déchets nauséabonds.
IMAGINER LE DIALOGUE

C’était une matinée comme les autres dans le bunker. Les cinq auteurs, Albert, Berthe, Claude, Diane et Étienne, s’affairaient chacun de leur côté pour commencer leur journée de travail. Albert, penché sur son clavier, tapotant nerveusement les lettres d’un roman policier, ne leva pas les yeux lorsque Berthe entra, une tasse de café fumante à la main.

“Bon matin, les amis!” lança-t-elle d’une voix enjouée, son sourire éclairant le sombre bunker.

Claude, plongé dans un livre de poésie, fit un signe de la tête sans lever les yeux. Diane, quant à elle, était déjà perdue dans ses notes, un crayon rouge vif à la main, tandis qu’Étienne s’obstinait à faire fonctionner sa machine à écrire vintage, ses doigts agiles dansant sur les touches.

Soudain, un bruit sourd provenant de la salle de bains attira leur attention. Un “glouglou” incessant, suivi d’un gargouillement inquiétant.

“Quel est ce bruit ?” s’inquiéta Diane, se levant brusquement.

“J’en ai assez de cette salle de bains!” grogna Albert, jetant un regard noir vers la porte de la pièce.

Sans attendre, Berthe fonça vers la salle de bains, suivie de près par les autres.

“Oh mon Dieu !” s’exclama-t-elle, la main portée à sa bouche.

Les autres, surpris, se précipitèrent à son tour et découvrirent avec horreur que la canalisation était bouchée, provoquant un débordement d’eau et de déchets nauséabonds.

“C’est un véritable désastre !” s’écria Claude, grimaçant devant l’odeur pestilentielle.

“Qui a bien pu faire ça ?” se demanda Diane, observant les dégâts avec un air interrogateur.

“Il faut trouver le coupable !” lança Étienne, les poings serrés.

Le bunker, habituellement un lieu de calme et de concentration, se transformait en un véritable champ de bataille. Les accusations fusaient de tous côtés. Albert soupçonnait Claude, estimant qu’il avait oublié de jeter ses mouchoirs en papier usagés. Claude accusait Diane d’avoir jeté des restes de nourriture dans les toilettes.

Berthe, quant à elle, tentait de calmer le jeu, tentant de trouver une solution au problème.

“On ne va pas se disputer comme des enfants ! Il faut trouver une solution !” s’exclama-t-elle, essayant de se faire entendre au milieu du chaos.

Soudain, Étienne s’approcha du lavabo et remarqua une petite note collée sur le miroir. Il la décolla et la lut à haute voix :

“J’ai bouché l’évier. Si vous voulez le déboucher, trouvez la clé.

  • Le mystérieux X”

Le mystère s’épaississait. Qui était ce mystérieux X ? Et surtout, quelle était la clé du mystère ?

L’aventure ne faisait que commencer pour les cinq auteurs, qui se lancèrent dans une enquête palpitante pour démasquer le coupable et déboucher l’évier.